• Chapitre 20

    一般的な復讐。 

    https://www.youtube.com/watch?v=HAIAXFQ0T74 

    Ce matin, Kota s’était réveillé de bonne heure pour partir en même temps que Yumi pour lui faire la leçon. Il sortait de sa chambre et se dirigeait vers celle de Yumi, il voulu pousser la porte qui s’ouvrait juste devant lui, voyant la pièce vide il s’avançait dans la chambre pour la trouver mais cette dernière fût découverte endormie dans un coin de la pièce, la lampe(torche clignotant d’épuisement. Kota, jugeant le moment mal choisi, fit demi-tour et renonçai à la sermonnée aujourd’hui. Il prenait son sac et enfilait son manteau avant de sortir précipitamment dehors quand il vu Suzuki marcher devant chez lui sur le trottoir d’en face. Il la rejoignait avec un grand sourire aux lèvres et lui fit la bise puis continua à marcher à ses côté direction l’établissement scolaire.

    Suzuki : *soupire* On peut dire que Yumi à été la goûte d’eau en trop pour notre morale n’est-ce pas ?

    Kota : Oui c’est un peu ça… Je me demande si elle réfléchit à ses actes parfois ou alors si elle aurait un problème vraiment sérieux dans le cerveau.

    Suzuki : *rit* La maladie de la connerie ? Ce serait une bonne excuse à beaucoup de choses ! Mais ça ne lui ramènera pas ses amis…

     

     

    Kota : Je ne suis pas sûre que tout le monde lui en veuille.

    Suzuki : Qu’est-ce que tu veux dire par là ?  Personne ne peut continuer à aimer une hypocrite pareille, même pas Akiko, après tout ces conneries on faillit coûter la prison à son copain !

    Kota : Je n’en suis pas aussi sûr que toi, n’oublie pas qu’Akiko-chan est du genre à ramener tout sur le dos de Satan de vos « origines ».

    Suzuki : C’est vrai mais quand même… Elle a un cœur depuis qu’elle nous connaît !

    Kota : *rit* Tu dis ça d’une telle manière qu’on croirait que « ça » était normal !

    Suzuki : Eeeeh ! Ne te moque pas de moi, ça l’est devenu depuis… Bah en fait j’ai l’impression de faire un cauchemar éveillée mais ça l’est !

    Kota : En effet… Comment j’ai pu être si stupide ? Mon amie d’enfance et ex-copine est un vampire et je ne l’ai jamais vu…

    Suzuki : Disons que c’est assez récent… *rire gênée* Oh regarde ! SHIZUMASA-KUN ! NAAAAO-CHAN !

    Kota : Aaaaaah !!! Mais ne cri pas à côté de mon oreilles ! >w<

    Shizumasa : Bonjour tout le monde ! J’espère que vous avez récupérez !

    Nao : Ohayo ! Tiens, Nakajima-san n’est pas avec vous ? Tant mieux, je n’aurai pas voulu lui parler de toute façon !

    Shizumasa : Mâche tes mots, petite sœur !

    Nao : Quoi ?! Je ne suis pas grossière et puis je ne fais dire à haute voix ce que tout le monde pense en silence !

     

     

    Kota : *rit* Ohayo ! Nous devrions nous dépêchez et ne pas trainez, sinon on va encore arriver en retard et je ne pense pas qu’un retard de plus plaira au proviseur !

    Suzuki : C’est vrai mais l’autre fois nous avions une bonne raison … ! …Enfin… Je pense que nous sommes irrécupérables.

    Ils riaient tous de bon cœur et continuaient de marcher pendant un bon moment. Les filles faisait les commèrent entre elles et les garçons parlaient du match de baseball de hier soir. Après avoir bien débattu pendant 20 minutes ils arrivaient devant le collège, mais il n’y avait personne pou les accueillir alors  ils disaient au revoir à Shizumasa qui faisait demi-tour sans rechigner  de la distance entre ici et la maison. En entrant dans la cour ils furent accueillis par Nagisa, Mikuru et Ichiko qui avait le sourire aux lèvres.

    Nao : Vous avez l’air bien contente dites-moi ! Pourquoi ces sourire enjoué après ce qu’il s’est joué hier ?

    Nagisa : C’est justement pour ça qu’on est heureux ! Après tout, tout c’est bien terminé pour tout le monde, même Yumi ! (En tout cas mieux que prévus.)

    Suzuki : C’est sûr que vu de cette manière c’est un jour de fête ! *rit* Où sont Aki’ et Subaru-kun !?

    Ichiko : Oh ils sont partis tous les deux plus loin dans la cour, ils fêtent sûrement la nouvelle en ce faisant des papouilles dans un coin !

    Suzuki : Quels genres des papouilles… ?

    Kota : Oh non Suzuki s’il te plaît ! Pas comme ça ! *rit* Ichiko, tu n’as plus l’air aussi protecteur qu’avant avec ta sœur ! *sourit*

    Mikuru : Non tu parles, c’est encore pire qu’avant ! Mais bon, il est heureux alors ils en profitent pour s’éclipsés !

     

     

    Dictaphone : *hum hum* 1-2-1-2 test ! Test! …Bonjour tout le monde! J’espère que vous avez bien dormis car demain nous commençons les examens ! Bonne journée à tous !

    Le petit groupe : MES EXAMENS ?!

    Suzuki : Avec tout ce qu’il s’est passé j’ai complètement oubliés ! Kuso !!!

    Nao : La même pour moi, il ne nous reste qu’une journée et une nuit pour réviser, cette fois c’est sûr que je ne dormirai pas…

    Ichiko : Heureusement pour moi, je réussis ces examens ou pas je ne risque pas grand-chose !

    Mikuru : C’est vrai…Nous allons bientôt être tous séparé, le temps passe tellement vite.

    Nagisa : J’ai l’impression de tous vous avoir toujours connus…Même toi et ta sœur, Ichiko ! Mais cela ne fait même pas 1 an que vous avez emménagé ici…

    Kota : *soupire* Au moins on peut dire qu’on a vécus plein de choses-

    Nao : -Que l’on ne pourra jamais raconter !

    Ils explosèrent tous de rire. C’est vrai que leurs aventures ne leurs serviront à rien, mais bon ! La cloche sonna, ils montèrent en classe, la matinée commençait avec une bonne humeur générale. En classe, alors que tout le monde écrivait déjà les leçons et que le professeur était assit à son bureau et lisait, la porte s’ouvrit le plus doucement pour ne pas faire de bruit. Suzuki se pencha et vu Subaru et Akiko rampés au sol jusqu’à leur pupitre pour ne pas se faire voir…

    Suzuki : Qu’est-ce que vous fichez …?

    Akiko et Subaru : CHHHHHHHHHHHHT !!! Tu vas nous faire repérer !!!

    Professeur : *parle les yeux fixé sur son livre* C’est déjà fait, mais je vais faire comme si je n’avais rien vu cette fois-ci.

    Akiko et Subaru : Kuso !

    Toute la classe ria à leur idiotie. Ils s’installaient à leur place habituels, Ichiko les observaient par-dessus l’épaule ; Akiko essuyait la bouche de Subaru avec un mouchoir.

    Akiko : *parle doucement* Tu as du rouge-à-lèvres partout !

    Subaru : C’est a faute aussi, si tu n’en mettais pas…

    Akiko : Excuse-moi de vouloir te plaire un minimum ! Et puis c’est nouveau pour moi je n’en mettais pas avant…

    Subaru : *rit* Tu me plais aussi sans !  *clin d’œil*

    Ichiko : *les coupe d’un ton sec* Arrête de charmer ma sœur et travail ! C’est toi qui passe des examens demain, pas elle.

    Subaru : Gõ-Gõmenasai...

    Pendant ce temps chez Kota ; Yumi était resté dans sa chambre encore un peu paniquée par sa crise d’angoisse de hier soir.  Elle était allongée sur son lit et regardait le plafond en ce demandant ce qu’il avait bien pu lui arriver, la seule explication logique était peu être un cauchemar trop dur ? Non, quelle blague, comme si une personne ayant torturé ses plus proches amis était sensible à ça. Après longue réflexion elle se leva et alla dans la sale de bain pour s’habiller. Elle se trouvait devant le miroir, elle se coiffait avec une serviette autour d’elle encore trempée par la douche. On toquait à la porte de salle de bain si violemment que la porte tremblait d’elle-même. Le regard de Yumi se posa sur celle-ci, on toqua une deuxième fois tout aussi fort. « Si c’est une blague, ce n’est pas drôle Kota, et puis tu devrais être en cours, repart d’où tu viens ! » répétais Yumi à plusieurs reprise mais elle ne reçut aucune réponse. Elle finit par s’énerver et cria « CA SUFFIT MAINTENANT !!! » aussi fort qu’elle pouvait, croyant que c’était fini elle se retourna vers son miroir mais deux seconde après la porte fût propulsé à travers la salle de bain dans un grand bruit sourd, manquant d’arracher la tête de Yumi au passage. Pris de panique les parents de Kota montèrent à l’étage voir d’où venait le bruit, ils trouvèrent Yumi en pleure dans la salle de bain assise à côté de la machine à laver.

    Père de famille : Qu… Comment une porte peut-elle gicler aussi loin ?! Ce n’est pas possible, je ne comprends pas ! Vraiment désolée Yumi, nous n’avons jamais eut ce genre de problème avant !

    Mère de famille : *la console* A mon avis c’est autre chose, une force mystérieuse peu être ?

    Père : Oh non tu ne vas pas nouveau me casser les pieds avec tes histoires de fantômes !

    Yumi : Elle… D’un coup elle… J’ai cru que …j’allais mourir…

    Mère : *l’aide à se lever* Va te coucher d’accord *caresse la tête* Nous allons réparer ça. *sourit*

    Yumi suivit les conseils de la mère et retourna se coucher encore en serviette. Cette fois-ci c’était sûr, ce n’était pas son imagination qui lui jouait des tours, impossible. C’était une force mystérieuse qu’elle ne connaissait pas, il y a les enfants de Satan, des démons blancs enfants d’inconnu, très bien mais… Un esprit ? Peuvent-ils existés ? Une chose était belle et bien prouvé, il n’y avait personne derrière la porte et personne dans la maison appart elle et les parents Amenashi. Cela faisait déjà 2 heures qu’elle dormait, la mère de famille allait la réveiller à l’étage.

    Yumi : Hmm… Oh…Re-bonjour...

    Mère : *sourit* Re-bonjour ! Aller, si tu te dépêches tu peux encore avoir 1 heure de cours ! *part*

    Yumi se relevait en enfilait des vêtements, elle partie avec un croissant dans la main gauche et son cartable dans la main droite. Il n’y avait pas beaucoup de circulation ni beaucoup de gens dehors, les nuages gris cachait le soleil, le genre de temps que les corbeaux adore et non croyez-le, ce n’est pas cliché. Leur croissement les jours de mauvais temps font frémirent tout le monde et donne une ambiance de fin du monde. Yumi marchait en regardant droit devant elle avec un sentiment étrange ; celui d’être suivit. Elle se retournait à plusieurs reprises mais il n’y avait personne, elle faisait demi-tour et regardait derrière les murets et poubelles si personnes n’était caché mais non. Rien du tout.

    Yumi : Je sais que vous êtes là, ce n’est pas drôle, montrez-vous et vous serrez tuez. Vous savez, vous avez peur mais vous continuez de me suivre, manifestez-vous avant que ce ne soit moi qui me manifeste, C’EST CLAIRE ?! …

    Une fois de plus aucune réponse, en revanche, tout à coup un énorme vent faisant volé tous les papiers et déchets sur le trottoir, emportant presque Yumi avec alors qu’elle luttait de toute ses forces pour ne pas perdre l’équilibre et se faire emporter.

    Yumi : NAN MAIS CA VA PAS ?! Je sais très bien que je suis suivis, je ne sais pas encore par quoi mais je ne vais pas tarder à le savoir ! C’est très impoli de vouloir soulever la jupe d’une jeune fille en utilisant le vent !!!

    Juste à côté, un voisin sortait ses poubelles, se demandant bien après qui Yumi pouvait hurler… « Vous crier après Mr. LeVent ? » demandait le voisin en riant. Yumi toute gênée rougit et se mit à courir jusqu’au collège mine de rien. Elle arrivait dans la cour et s’installait sur un banc, elle restait là jusqu’ à que la sonnerie retentisse et elle n’en avait pas très envie car elle n’avait plus d’amis appart Kota à présent et encore car Kota se forçait à être poli car ils vivaient dans la même maison. Elle montait en classe 201 ; cours de Japonais.

     Professeur : Bonjour Nakajima-san, nous n’avons pas eut l’honneur de t’avoir parmi nous ce matin, pourquoi cela ?

    Yumi : *Hm Hum* Je… Je ne me sentais pas très bien,  je vous présente toutes mes excuses les plus sincère sensei.

    Professeur : *rit* Allons allons c’est bon va t’assoir !

    Subaru : *chuchote à Kota* Génial, elle n’aurait pas pu rester chez toi celle-là ?!

    Kota : Tu m’étonnes, mais bon, elle ne peut pas séchée les cours, elle aurait des ennuis.

    Subaru : J’en ai rien à foutre !

    Nagisa : Bon vous avez finis j’aimerai pouvoir réviser ! *tape sa règle sur leurs têtes.*

    Kota et Subaru : Itai ! Gõmenasai…

    Akiko : Ichiko, Ichiko ! Regarde Yumi, elle à l’air toute déstabilisée…

    Ichiko : Normal, elle n’a plus aucun ami. Nous étions le seul groupe de la classe qui ne se mélangeait pas aux autres.

    Suzuki : Elle ne mérite rien d’autre.

    Akiko : Non, non pas comme ça ! Elle regarde derrière elle sans arrêt, elle remue les lèvres, elle parle toute seule !

    Suzuki : Peu être qu’elle est vraiment malade en fait ! *rit-BAM* ITAAAAAAI !!!

    Professeur : Que vous arrive-t-il Kishigu-san ?

    Suzuki : Rien, rien je… je me suis cognée. *se retourne vers Akiko et Ichiko* Quelqu’un m’a frappé !

    Ichiko : Hum…l’élève à ta gauche est absent, personne n’a pu faire une telle chose et puis nous n’avons vu personne avec Akiko…

    Suzuki : Mais je ne délire pas ! J’ai bien sentie le coup et puis vous l’avez vu non ? Ma tête à eue une réaction à cette claque !

    Akiko : Oui mais… Ce n’est pas possible, il s’agirait d’une hallucination collective ! Aller, continue de travailler.

    Plus la journée passait et plus il se passait de choses étranges, ils furent tous attaqués les uns après les autres à chaque fois qu’ils disaient quelque chose de mal. A la fin de la journée, le groupe s’était réunis dans la salle de club car Yumi avait lancé un appel  sur leur téléphone disant qu’elle voulait absolument leur parler.

    Nagisa : Bon alors, qu’est-ce que tu veux nous dire ? Dépêche-toi, moi je dois rentrer bosser !

    Yumi : Depuis hier soir… [Raconte tout de A à Z]… Donc…Je… Pui j’ai peur et même si vous me détester je devais vous en parler !

    Akiko : Nous avons chacun notre tour subits des agressions du type : inconnu, aujourd’hui.

    Yumi : Au moins je ne suis pas folle…

    Ichiko : A moins que nous le sommes tous devenus.

    Suzuki : Ca commence à me faire peur ces trucs ! Si c’est encore une de tes farces ridicule ce n’est pas la peine d’aller plus loin !

    Yumi : Non je te promets… Je n’ai vraiment pas envie de rire cette fois, je me suis fais agressée à plusieurs reprises…

    Suzuki : Tiens ce n’est plus aussi drôle quand ça arrive à toi hein !?

    Akiko : Suzuki, Yumi ! Onegai shimasu.

    Un rire se faisait entendre dans la salle, tout le monde se regardait sans comprendre d’où il venait. Un casier fût complètement défoncé sous leurs yeux d’un coup, une fenêtre subitement ouverte et enfin un silhouette apparu derrière Yumi, lui posa une main sur l’épaule et se laissa apparaître plus visiblement. Akiko poussa Yumi sur le côté, brandissant un couteau de poche sous le coup de l’homme devant elle.

    Akiko : Qu’est-ce que tu veux et qui es-tu !!??

    Homme : Je suis bien déçu de voir que tu ne me reconnais pas Akiko ! *sourit*

    Akiko : Pourquoi, je devrais ?!

    Homme : A vrai dire il n’y a pas que toi qui devrais me reconnaître ! Tutututu, je me sens inconnu ! *rit*

    Ichiko : Ce n’est pas possible.

    Akiko : Nous ne pouvons croire à une telle chose. Tu…IIE !!!

    Homme : Voyez la vérité en face, vous êtes déjà deux à l’avoir remarqué !

    Suzuki : De quoi il parle Akiko ! Ichiko ?!

    Akiko baissa son arme et la referma avant de le remettre dans sa poche. Elle se tourna vers ses amis d’un air avide de sentiments. Ichiko qui avait le même regard ce mit à côté d’elle.

    Akiko et Ichiko : Mes chers confrères et consœurs veuillez accueillir cet être sans pareil par sa cruauté, veuillez vous inclinez devant Père.

    Les deux dits « jumeaux » s’inclinèrent n’osant plus relever la tête. Leurs amis firent de même sans trop comprendre qui se tenait devant eux.

    Homme : Je me présente à vous chers disciple, moi Satan et père des démons, inclinez-vous jusqu’à ce que votre ventre touche le sol et remerciez-moi de vous avoir donnez la vie. Non pas vous Humains,  juste eux ainsi que le démon blanc.

    Kota et Subaru se relevèrent se retenant de rire, ils ne comprenaient vraiment pas ce qu’était cette histoire  de mec qui se prenait pour le centre de l’univers.

    Satan : *pouf de rire* Je plaisantais ! Ne vous inclinez pas voyons ! Akiko, Ichiko, vous vous faites une trop belle image de moi, relevez la tête enfin !

     

     

    Akiko : Nous avons échouez à notre mission.

    Satan : *leur frotte la tête et les aide à se relever* Bien sûr que non ! Vous avez amplement remplis votre mission les enfants, vous avez retrouvez mes cinq autres descendants ! *sourit*

    Ichiko : Nous nous sommes adoucît et nous avons baissé notre cruauté aussi bas que nous le pouvions sans autorisation.

    Satan : J’ai l’impression de vous avoir élevés ma parole !

    Nao : Alors comme ça c’est vous notre créateur… Que faites-vous ici ? Ichiko et Akiko avait bien souligné le fait que vous étiez mort ! //Ils ressemble à deux petites marionettes manipuler par cet homme...//

    Satan : Je suis mort. Comme vous. *rit* Seulement entre vous et moi il y une petite différence qui en fait une grande ; je peux rester dans ma mort et en sortir comme je veux alors que vous, vous ne pouvez pas mourir.

    Nagisa : C’est pas tout à fait vrai ! Apparemment si nous décidons de nous suicider nous ne pouvons plus revenir à la vie.

    Satan : *rit* Mais moi si je me suicide je peux revenir même si je ne sentirais aucune sensation sur le corps ! *clin d’œil*

    Nagisa : C’est moi ou vous avez des sous-entendus de pervers envers nous, père ? //Il me paraît un oeu trop "cool" pour une personne de cette importance.//

    Satan : *sourit* Je sais tout, je sais ce que vous faites seuls, je sais quand vous chantez dans la douche, je sais qui couche avec qui, je sais tout de votre vie au moment ou cela se passe.

    Sur cette nouvelle ils le regardèrent tous un peu dégoutés et se regardèrent entre eux d’un air désespéré et trahi.

    Suzuki : C’est répugnant. *agite la tête* Ca ne nous explique pas pourquoi vous êtes là vieille antiquité !

    Satan : Eh un peu de respect pour ton paternel petite isolante ! *Hum* Je suis là pour toi jeune Yumi. J’ai vu que tu n’es pas tendre avec tes frères et sœurs, ça ne me plaît pas vraiment. De plus tu ne suis pas le règlement correctement ; Tuer tout ce qui bouge mais pas la famille.

    Yumi : Je rêve ? Mon père, le roi des malfrats, de l’enfer et du « je-m’enfoutisme » rapport à toutes règles essai de m’apprendre un règlement qu’il a lui-même inventé ? Laisse-moi rire !  Tu voulais qu’on te respecte vieux crouton, il fallait nous élever pour ça au lieu de nous laisser nous démenés comme des merdes dans cette vie de cinglés !

    Satan : C’était…Pour vous endurcir…Ce n’est pas mon rôle d’élever des gamins que je sache j’ai d’autres chats à fouetter.

    Yumi : Oui, autre chose à faire hein ? Tu n’as fais que dormir pendant qu’on prenait la relève pauvre con ! Tu ne vaux rien. RIIIIIIIIIIIEN !!!!

    Un bruit sec se fit entendre dans la pièce puis un plus gros, un bruit lourd et d’un corps tombant parterre. Yumi s’était un gifle telle qu’elle avait perdue l’équilibre, Satan la regardait avec cet air de paternel déshonoré et très en colère… Il lâcha un soupire avant de lui hurler à la figure pour lui apprendre cette règle très stricte de ne pas toucher à sa « famille ». Plus encore lorsqu’il avait fini son petit discourt il ajouta « Je suis là pour te punir, petite idiote ! » en baissant légèrement le ton de sa voix. Il se retourna vers Akiko et lui releva le menton, puis relâcha son visage.

    Satan : Ce n’est pas la peine de faire cette tête ma douce, tout s’arrangera bien un jour, c’est bien ce que ta mère disait non ?

    Ichiko : Ne parlez pas de notre mère aussi librement, elle était là, elle.

    Satan : Vous n’allez pas m’en vouloir pour une chose aussi infime tout de même ? Je viens vous vengez, vous devriez me sourire les enfants.

    Suzuki : C’est vrai ! *sourit* Après tout il va se charger de Yumi pour nous, quelle meilleure vu que celle de Yumi nous suppliant du regard ? *rit* J’adore cette idée père, laissez-moi vous aidez, une antiquité comme vous pourrait se fatiguer.

    Satan : *soupire* Si insultante et charmante à la fois…

    Yumi : Tu ne l’a pas écouter, on ne peut pas torturer ses propres frères et sœurs !

    Satan : *rit* Je pense que vu ton cas, une petite vengeance d’eux n’est pas si grave, ce n’est qu’une petite exception à cette règle. Tu es d’accord avec moi ?

    Yumi : Pas vraiment…

    Akiko releva la tête, ouvrit la bouche pour ne sortir qu’une phrase froide et sèche, « Je vais préparer la cave. » plus exactement, juste avant de se retourner, toujours le regard vide et de sortir de la pièce en claquant la porte. Les autres se regardèrent une fois de plus avant de décider qu’il était temps pour eux de la rejoindre aussi dans cette pièce sombre et malsaine appelé « salle de torture ». Une fois tout installé ils accrochèrent Yumi aux poignets et chevilles. Leur père, qui avait appelé Shizumasa, appela les vampires à se servirent les premiers avant que le sang ne soit usé. Suzuki fût la première à planter ses crocs dans la nique de la jeune bleue savourant chaque goûtes aspirées dans sa bouche. Elle recula et laissa la place à Shizumasa qui lui pris le même côté de la nuque, Yumi criait sous la douleur des deux morsures infligées… Ils se rassirent tous les deux laissant la place à Nagisa qui pris une batte et la frappa aussi fort que possible mais pas trop pour ne pas la tuer. Subaru, Kota et Mikuru était resté chez Subaru pour ne pas voir la scène. Nagisa ne l’avais jamais utilisé intentionnellement au par-avant, cette force mystérieuse qu’elle ne savait pas contrôler correctement mais enseigné et conseillé par Akiko. Une sorte de magie. En se concentrant très fortement Nagisa réussit à faire exploser deux ou trois veine dans le corps de son ennemie, certes ce n’était pas immense mais c’était nouveau pour elle et c’était suffisant pour faire souffrir Yumi…

    Satan : *caresse la tête de Nagisa* Tu progresse ! *sourit* A qui le tour ? Non non, ne poussez pas vous pourrez tous passer ! Exercez votre vengeance sur cette chose.

    Akiko : Chose...Nous sommes tous des choses.

    Nao : Je ne me concidaire pas du tout comme une "chose"*tire la langue*. C’est mon tour.

    Nao s’approcha de Yumi en se léchant les lèvres, n’étant qu’un démon pur cette dernière avait  déjà goûté de la chaire humaine, ce qui l’avait profondément dégoutée mais pour se venger elle était prête à le refaire... Elle sourit à la pauvre attache avant de mordre violement sa jambe. Yumi hurlait en sentant sa chaire se détaché, une douleur insupportable qui durait pendant plusieurs minutes.

    Yumi : YAMETEEEEE !!! Ya…Yamete… *en pleure* AAAAAAAAAAAHHHHH !!!!

    Nao : *crache la peau parterre* Je n’ai plus le courage de l’avaler mais si ça a pu te faire mal c’est l’essentiel hahahaa…

    Elle prit le flacon d’alcool à brûlé sur la petite table et lui versa le liquide sur la jambe, ça brûlure provoquait une forte douleur dans tout le corps de Yumi. Nao se mit sur le côté laissant place au deux plus jeunes, Ichiko et Akiko se regardèrent, positionnés chacun d’un côté de Yumi, le couteau dans la main, au signal de leur père ils plantèrent leurs côté dans chaque bras avant d’ouvrir la peau progressivement en descendant  vers le poignet suis les hurlements de leur victime.

    Ichiko & Akiko : HAAHAAAHAAAA MEURT-MEURT-MEURT-MEURT !

    Yumi : ARRÊTEZ !!! AAAAAAAAAAAAHRK *COUGH COUGH* *crache du sang*

    Ichiko : FERME-LA ! Ca fait mal ? C’est la douleur que tu nous as infligés rien que par ta présence salope !

    Akiko : *rit* Tu croyais t’en sortir ma grande, n’oublis pas que tu as tes supérieurs face à toi ! *sourit*

    Yumi : Dit celle qui nous as affirmé qu’on était tous égaux hei- KAAAAAAAAARGH COUGH !

    Ichiko : Je t’avais dis de la fermer ! Ne joues pas avec mes nerfs !!!

    Yumi : AHHMHHHH !!!!

    Akiko avait pris l’initiative de lui coudre petit à petit la bouche… Alors que Ichiko lui avait coupés les poignets et les pieds, Suzuki s’avançait en leur demandant si elle pouvait achever le travail. Ils acceptèrent, elle prit la batte à Nagisa.

    Suzuki : CA C’EST POUR NOUS AVOIR MANIPULES PETASSE !!!

    Sur ce elle lui explosa le crâne avec la batte.  Une fois le travail terminé et Yumi en petite mort, il fallait nettoyer et poser le corps sur le côté pour son réveil.

    Pendant ce temps chez Subaru, ils étaient tous les trois dans la chambre du jeune homme.

     

     

    Subaru : Je suis bien content de ne pas être venu avec eux...

    Kota : Et moi donc ! Tu imagines tout ce sang nous giclé dessus ?

    Mikuru : Arrête je vais vomir !!! *soupire* Je me demande s’il ont finis, j’aimerais bien que tout sois plus simple, calme…

    Subaru & Kota : Ouais ! ...

    Kanade : *à travers la porte* Subaruuuuuuu~ Je peux rentrer ?

    Subaru : Non ne rent-

    Kanade : *rentre* Oh ! Tu es avec une fille je… Mince désolée ! *rit*

    Kota : Je suis là aussi Kanade…

    Kanade : Ca n’empêche rien ! *rire sadique* Je ne pense pas que Akiko sera contente quand elle va apprendre ça~ !

    Subaru : KANADE, T’AS PAS INTERET !!!! De toute façon ce n’est pas ce que tu crois.

    Kanade : Et tu croix que je ne suis pas capable d’inventer quelque chose ? Que vas-tu faire pour acheter mon silence~ ?

    Subaru : Je ferais ta chambre pendant 1 mois ! Je te laisserai tous les chocolats pendant 1 semaine et … hm...

    Li : Et tu devras jouer à la dinette avec moi ! *rit*

    Subaru : Qu-Quoi !? Toi aussi Li !? Aaaaaaaaargh mais quel handicap d’avoir deux sœurs aussi sournoise… Entendu je ferai tout ça…

    Li tira la langue ne même temps que sa sœur avant de s’enfuir. Kanade sorti de la chambre de son frère et s’appuya contre la porte.

    Kanade : *parle à voix basse* Comme si j’allais vraiment lui dire, quel imbécile, il me connait mal ! *s’en va*

     

    Mikuru : Tes sœurs sont douées en affaires ! *rit*

    Subaru : Elles sont infernales même ! Enfin bref, vous voulez faire quelque chose en particulier ?

    Kota : *regarde son téléphone* De toue façon j’ai reçus un message de Suzuki, ils arrivent.

    Mikuru : Il son terminés alors ?

    Kota : Oui ! « Nous en avons finis avec la garce, nous arrivons chez Subaru tous ensemble, elle en a pris plein la gueule et elle seule ne vient pas. » Allons dans le jardin les accueillir !

    Subaru & Mikuru : Hai !

    Ils se retrouvèrent tous dans le jardin, aucun d’entre eux n’était spécialement dégoutés, à vrai dire c’était devenu une simple routine que de voir une personne perdre la vie de leurs propres mains. Ils s’installèrent dehors dans l’herbe pour parler de toute cette histoire oui, mais d’autre chose aussi car dès demain allait se dérouler des examens bien plus importants que les autres ; ceux qui joueraient sur leur vie futur… Akiko n’écoutait personne, elle pensait et rêvasser en regardant le ciel, parfois son regard se brouillait  et se floutait comme si elle partait ailleurs, pour ne sentait-elle plus l’herbe contre sa peau ? Elle avait tellement de sensations mais pas celle-là, comme si celle-ci était partie…

     

     

    Ichiko : *se rapproche de sa sœur* Onee-chan, tout va bien ?

    Akiko : Bien sûr, je me disais juste…sens-tu l’herbe qui te pique les doigts ? Ou…N’as-tu jamais perdu une sensation ?

    Ichiko : Evidemment, comme tout le monde, pourquoi ? Un peu comme si notre membre dormait ou était anesthésié ? Je ne croix pas, désolé.

    Akiko : Ah. Non, je me pose simplement trop de questions, retourne parler avec les autres ! *sourit*

    Elle s’allongea dans l’herbe et fermant les yeux… Elle se sentait comme isolé n’entendant plus ses amis autour d’elle, la seule voix qu’elle pouvait encore entendre était une voix de petit garçon qui pleurait ; «Tiens, c’est pour toi, reviens-nous vite !» En entendant ça elle sursauta et se redressa d’un coup, Suzuki se tourna vers elle.

    Suzuki : Eh bien eh bien, tu t’endors imouto-chan ?

     

     

    Akiko : Non, tout va bien ! *rit* Si nous faisions quelque chose ?

    Nao : Après les examens n’oubliez pas qu’il y a notre voyage ! J’y tiens moi.

    Nagisa :*rit* Bien sûr qu’on va le faire, il nous faut juste l’accord de nos parents !

    Mikuru : L’année scolaire se finit dans une semaine n’est-ce pas ?

    Suzuki : Oui ! Après on part pour le lycée, ce sera plus difficile de se voir…

    Kota : Mais non mais non !  On trouvera le temps haha !

    Ichiko : *se lève* Bon, nous allons vous laissez étudier notre mère nous attend pour aller à la brocante !

    Akiko : Génial… Pour acheter toujours et encore des meubles en bois qui s’entasserons dans le garage, quelle bonne idée.

    Ichiko : Aller, ne sois pas si pessimiste, on va bien s’amuser !

     

     

    Akiko : Ca c’est toi qui le dis, bon a plus !

    Les autres : A demain !

    Pendant que les autres étudiaient, Ichiko et Akiko partirent avec leur mère adoptive à la brocante, un endroit pas spécialement passionnant. Arrivé dans les allés, leur mère courrait dans tous les sens à la recherche de nouveaux trésor à acheter alors que les enfants marchaient doucement et regardait de droite à gauche. Akiko vu quelque chose qui attira son attention plus d’autre chose, elle se dirigea vers une petite chênette de poignet avec une tête en dorme de lapin dessus.

    Ichiko : Elle ta plaît ? C’est vrai que c’est mignon.

    Akiko : Oui. *la met au poignet*

    Brocanteur : 300¥ ! Seulement ce petit prix et c’est à vous.

    Ichiko : *donne l’argent* Tiens, il avait l’air de tellement te plaire ! *sourit et lui embrasse le front*

    Brocanteur : C’est votre petite amie ? Vous vous ressemblez tellement ! *rit*

    Ichiko & Akiko : NAN-NAN-NAN-NAN SŒUR / FRERE !

    Brocanteur : *rit* Gomen les jeunes !

    Ils recommencèrent à marcher pour voir le reste des objets.

    Akiko : Arigatõ Gõzaimasu Onii-chan !

     

     

    Ichiko : « Onii-chan » ?! S-Si c’est par rapport à ma taille ce n’est pas gentil de te moquer et puis toi tu es plus petite je pourrais bien t’appeler Imouto.

    Akiko : Suzuki va te bouffer si tu m'appels comme ça.

    Ichiko : *avale de travers* Eum… Et si on marchait ? *sourit* De rien…

    La journée passa plutôt vite, ils firent les cons toutes l’après-midi vu qu’il n’y avait personne pour les surveiller, enfin ils rentrèrent chez eux.

     

     

      

     

     

     


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :